dimanche 15 janvier 2012

Firenze, Italia

Après la splendeur flottante de Venise, une petite excursion du côté de la Renaissance italienne s'imposait. Florence donc.
Anecdote: comme l'Auberge de Jeunesse était pleine (qui a dit que la mi-octobre faisait partie de la saison creuse?), j'ai dû me rabattre sur un petit hotel très de base, à partager une chambre avec une Roumaine. Parle pas français, parle pas anglais. Notre langue de communication: le turc! Et bin quin...!




Santa Maria del Fiore (le gros machin avec le campanile, aussi appelé cathédrale, également connu sous le nom de Duomo) et le baptistère (le truc hexagonal, qui est en fait beaucoup plus vieux que le reste de l'ensemble). Honnêtement, je ne pensais pas que le marbre venait en autant de couleurs...



Florence, c'est aussi un paquet de statues (et je n'exagère pas du tout, il y en a vraiment partout), dont ce (faux) David de Michel-Ange et cet imposteur. Soit dit en passant, elles ne sont pas toutes super ragoûtantes (essayez de trouver celle du héros grec brandissant la tête coupée d'une Méduse, avec entrailles pendouillantes inclues. Indice: juste à côté du lion qui semble prêt à vous bouffer. Charmant)




Florence, c'est également l'écrin d'un des ponts les plus célèbres d'Europe, que dis-je, du monde (n'exagérons rien...)! Le Ponte Vecchio! Les jolies couleurs, les magasins qui défient la gravité, les deux étages pour séparer la plèbe des aristocrates, et bien sûr, les crocodiles. Si, si, les crocodiles. Les photos ne le montrent pas, mais lors de ma visite, les berges avaient été colonisées par un groupe de crocodiles en plastique. Si quelqu'un avait la gentillesse de me l'expliquer celle-là... 







Florence en général


Santa Maria Novella













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Un peu de modernité


 




Et concluons avec un bon ciel dramatique pour faire bonne mesure.

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